Deux reporters font l’objet d’allégations concernant la publication de « divers articles présumés comme trompeurs et diffamatoires ». L’Observatoire des Technologies Médicales les a épaulés pendant leur entretien.
Le jeudi 03 août 2023, à la suite d’une réclamation réclamée du Comité national olympique du Togo (CNO-Togo), les correspondants Cyrille SABLASSOU et Julien SEGBEDJI œuvrant au sein de l’équipe éditoriale du portail d’actualités republicain.infos, ont été sollicités à comparaître devant le Service central de recherches et d’investigations criminelles (SCRIC).
Il était reproché aux confrères, la publication sur internet et les plateformes WhatsApp d’une série d’articles jugés mensongers et diffamatoires.
Les deux confrères qui ont reconnu les faits, ont saisi l’Observatoire togolais des médias (OTM) pour une action de médiation en vue d’un règlement à l’amiable.
Le vendredi 04 août 2023, les confrères Cyrille SABLASSOU et Julien SEGBEDJI ont été auditionnés dans les locaux du SCRIC en présence du président de l’OTM et de son collègue du CONAPP. Les deux confrères ont reconnu les faits et ont pris l’engagement de présenter des excuses au CNO-TOGO et particulièrement à son président.
Après plusieurs démarches demandées par les présidents de l’OTM, du CONAPP et du Directeur de la Maison de la presse, le Comité national olympique a accepté le règlement à l’amiable en retraitant sa plainte contre les confrères.
L’Observatoire togolais des médias (OTM) se réjouit du dénouement heureux de cette affaire et tient à adresser ses vifs remerciements à M. Deladem AKPAKI, président du Comité national olympique du Togo, pour sa disponibilité et son geste de grâce. Il remercie par la même occasion le Colonel Commandant du SCRIC pour son implication dans la résolution de l’affaire.
Pour finir, l’OTM tient à rappeler aux confrères le respect rigoureux de la déontologie de notre profession et surtout un usage responsable des réseaux sociaux qui, faut-il le rappeler n’entre pas dans le champ d’application du code de la presse et de la communication en vigueur.
Tendresse Atiké